vendredi 28 novembre 2014

Jimmy Fallon with The Roots: Desire

Jimmy Fallon est l'incarnation des animateurs de late-shows totalement américain : talentueux, marrant, impertinent. Ca change tellement des trucs tellement aseptisés qu'on trouve chez nous...



Exemple : Bono devait être l'invité de son émission. Il a eu un accident de vélo en s'y rendant. Bon ben Fallon chope une guitare et joue avec son groupe attitré, The Roots. Juste énorme.



jeudi 27 novembre 2014

Pourquoi je ne veux pas chroniquer d'albums

Pourquoi je ne veux pas chroniquer d’albums. J’avoue qu’en tant qu’apprentie rock critic, cette sentence peut être un peu extrême mais je trouve qu’elle a un fond de vérité. Après tout, c’est vrai, qui est-on pour juger ? Pour moi, la posture de rock critic, d’afficionado du rock, est un peu celle d’un guide sympa, Galdalf style, qui va venir prendre le néophyte par la main et l’emmener vers les vertes vallées des groupes encore en friche, ou l’amener aux monuments du rock, mais sans le côté allemand, les chaussettes dans les Birkenstock. Ce n’est pas être prof, et donner de grandes leçons sur l’histoire du rock et autres. Non. C’est être comme un pote qui est super heureux de faire partager un groupe génial qu’il vient de découvrir. C’est partager, échanger, discuter. Pas jouer les juges et les bourreaux et se repaître de têtes qui roulent et d’amplis qui saignent. C’est pas le but. Ca doit être un dialogue entre passionnés, et pas un putain de remake de l’Inquisition ! Pas s’amuser dans une corrida où les plumes remplacent les banderilles, ou pire, les jeux du cirque où tous ces mecs qui font de la musique, qui suent sang et eau depuis des années pour vivre leur rêve, créer leur univers, se faire connaître, faire entendre leur voix, ont enfin passé l’épreuve du combat, ont gagné le droit de sortir un premier album, financé par une maison de disques toujours trop frileuse, avec le critique là, dans les tribunes, qui va d’un seul geste du pouce briser tout un destin ? Alors oui, heureusement que tous les rock critic ne sont pas comme ça et heureusement. Mais je n’aime pas le côté « Analyser chanson après chanson ». Pour moi, ça n’a pas d’intérêt de dire que tel morceau a piqué telle ligne de basse à un autre. A moins que ce soit le plagiat le plus total, mais sinon, il faut pas oublier que les plus grands groupes des 70’s, Beatles et Stones en tête, ont commencé à se faire connaître en jouant des reprises. Et que, bien avant ça, un petit péon bien de chez nous appelé Du Bellay a prôné l’innutrition, à savoir « biberonne toi de bonne musique, intègre-là, fais-là tienne, et ensuite tu pourras briser les règles et composer à ta sauce ». Pour moi la musique est pas quelque chose qui doit être réfléchi et analysé. C’est brut, primal, immédiat. C’est ce qu’elle provoque qui compte. Le talent d’un groupe à pondre un morceau qui va te mettre plus bas que terre ou qui va sauver ta journée. C’est ça l’art. Te faire vibrer, te faire pleurer, te faire sourire. C’est une réponse émotionnelle et immédiate. Pas quelque chose qu’on doit décortiquer au scalpel comme une grenouille ou une souris de labo. Alors oui, je vais tenter ici de mettre mes tripes sur la table, parler de ma passion et la partager, mais sans me lancer dans une croisade pour démonter des groupes qui en chient déjà assez pour simplement tenter de percer dans le milieu. Parce qu’on doit se rappeler que les critiques de l’époque ont juste massacré Led Zeppelin. Led putain de Zeppelin ! Jimmy Page en parle d’ailleurs dans la presse à l’occasion de la sortie de ses remasterisations « Pour les trois premiers albums, nous nous étions ramassé la proverbiale volée de bois vert. Le magazine Rolling Stone avait lancé le mouvement en nous massacrant le premier album et dès lors tous les critiques occidentaux voulaient se payer Led Zeppelin. Le troisième album répondait aux critiques des deux premiers. Non nous n’étions pas un groupe bourrin qui pédalait dans le métal, à preuve un album folk, sensible. Mais les critiques du ‘’III’’, ce disque si pur, avaient redoublé de connerie assumée ! Ils disaient tous que le groupe était hype. Un coup monté. Vous connaissez beaucoup de coups montés qui donnent des concerts passionnés de trois heures, vous ? Ils le prenaient comme ça ? Alors nous allions sortir un disque de folie, mais sans titre, ni nom de groupe. On verrait si nous étions un coup. » (« Jimmy Page », par Philippe Manœuvre, R&F novembre 2014). Voilà. Je n’ai pas envie d’être ça, de laisser une telle impression. Alors je vais parler de ce que j’aime, et ça sera ma profession de foi. Amen !

vendredi 14 novembre 2014

AC/DC - Play Ball

Tout chaud tout croustillant, les papys du rock australien viennent de balancer leur nouveau single, "Play Ball". Eh ben j'ai envie de dire qu'ils ont encore de quoi faire avec ce riff de dingue!










mercredi 5 novembre 2014

Chanson du jour : Marilyn Manson - Third Day Of A Seven Day Binge

L'Antichrist superstar vient de dévoiler une nouvelle chanson. Ca s'annonce méchamment bien on dirait! J'ai hâte d'en écouter plus!






mardi 4 novembre 2014

Bastille - Laura Palmer /// Berlin Sessions #53

Petite vidéo sympa du groupe Bastille, qui a enregistré un titre dans un parc, avec les moyens du bord. Très sympa ^^



lundi 3 novembre 2014

Chanson du jour : BLUES PILLS - Devil Man

Rhalala mes chouchous, je viens de tomber sur cette putain de bombe en jetant une oreille aux groupes qui allaient passer près de chez moi. A mon grand désespoir, le concert affiche complet. Enfer et damnation.



Ce truc est une pure tuerie. Genre Wolfmother ou les Black Keys qui serviraient de backing band à Janis Joplin. Excusez-moi, j'ai joui musicalement.



dimanche 2 novembre 2014

Johnny Depp, Marilyn Manson & Ninja - The Beautiful People

Quand Marilyn Manson rameute ses potes, ça donne un jam sur "The Beautiful People" avec Johnny Depp à la guitare, et un des deux rappeurs de Die Antwoord!